L’Aéroport de Bordeaux franchit le cap des 6 millions de passagers
Un nouveau record de fréquentation pour l’aéroport qui a gagné 1 million de passagers en 2 ans.
Deux ans seulement auront suffi pour conquérir 1 million de passagers supplémentaires, permettant de passer le 19 décembre 2017 le cap des 6 millions. Fort de sa croissance constante et progressive, le trafic de l'Aéroport de Bordeaux a atteint un niveau record, porté par les ouvertures de lignes vers l'étranger et une croissance des vols à bas coût. Au pic de la saison 2017, 90 destinations étaient accessibles en vol direct depuis Bordeaux.
Depuis 2009, le trafic a progressé de plus de 80%, passant de 3,3 millions de passagers à plus de 6 millions en 2017. C’est également en 2017 que l’aéroport a réussi à attirer des compagnies emblématiques telles que la compagnie de réseau allemande Lufthansa ou Wizz Air, la 1ère compagnie low-cost de l’Europe de l’Est. Cette année, pas moins de 31 compagnies se seront croisées sur la plate-forme bordelaise.
Le trafic international, moteur de cette croissance, dépasse les 3 millions de passagers. Il a bénéficié de 14 ouvertures de lignes (Annexe 1) et de capacités supplémentaires sur de nombreuses lignes existantes. L’accès à plus de 10 hubs continentaux (Annexe 2) ouvre des possibilités multiples à travers le monde.
La croissance est soutenue aussi par celle des compagnies low cost avec une soixantaine de destinations dont 8 nouvelles en 2017 comme Budapest ouverte cet hiver, ou Malte et Hambourg. Plus que jamais, le développement accéléré des compagnies low-cost est notable. Volotea progresse de 48%, Ryanair de 26% et Easyjet, la 2ème compagnie en terme de trafic derrière le groupe Air France-KLM, ouvrira une base à Bordeaux en mars 2018. En 2017, un vol sur quatre a été assuré par une compagnie à bas coût.
Au vu de cette année particulière pour l’activité de l’aéroport, Pascal Personne, Président du Directoire de l’Aéroport de Bordeaux-Mérignac, précise : « A l’heure où la Navette d’Air France doit affronter la concurrence agressive du train, nous affichons une croissance largement positive. La ligne aérienne vers Paris est certes impactée mais la réactivité commerciale d’Air France, le volume de trafic généré par les nouvelles lignes et les fréquences supplémentaires ont très largement compensé cette perte de trafic. »